[Lalaru]Fiction : Les loups-garous

on a aussi la bique et Mortepied qui prennent des achets pour dormir...sino la chasse au trésor on en est où?

je vote aussi Théo

Ce sont les médicaments contre le mal de tête qui donne la maladie, pas les somnifères

Au niveau des fédaudaus il faut juste vérifier qui a une ordonnance et qui dit en prendre et relever l'incompatibilité entre les deux listes .... allez, un courageux pour aider ce village à survivre

bon j'ai tout lu les 11 pages.

pour moi sans aucun doute vous pouvez commencez par tuer le pasteur...maintenant vous me croyez ou pas.

j'ai pas dit que théo était innocent ou coupable..

je vote arsène passteur.

Lala a écrit:

Elle me raconta alors en détails son film de la veille : Mâche. Une histoire de diamants, de salades composées et de chevaux… un mélange étrange mais qui, visiblement, lui avait beaucoup plu.

Lala a écrit:

Emile avait regardé le même ilm que Jasmine, et s’était endormi après avoir admiré la photo de sa défunte femme.

Jasmine détaille le film, tandis qu'Emile se contente de dire qu'il a vu le même... Il ne raconte pas clairement ce qu'il a vu... Les changements de votes sont autorisés?

Lala a écrit:

Ensuite, elle s’approcha de moi et me souffla à l’oreille : « cette gamine étrange et solitaire… je sais qu’elle n’est pas une des leurs. Je sais qu’on peut avoir confiance en vous alors je vous le dit. »

De plus, cette nuit, la voyante, Jasmine, a trouvé l'identité d'Elora, donc Elora est innocente -> petite fille surement

voldemorte a écrit:

je vote arsène passteur.

il a passé la nuit avec le gamin collé à lui... difficile de le cataloguer parmi les loups !

Je lui ai dit pareil sur MSN... Il m'a rep "C'est pas une preuve" xD
Non mais en fait, Théo Mordur, c'est trop évident qu'il soit loup... Et je n'y crois pas de la part de Lala...
Bon, si tu l'acceptes Lala, je change mon vote... Je vote contre Emile Broutille!
Si tu refuses, ca reste Théo

Au début ce n'était pas si évident pour le Théo... avec le dernier message oui, mais les conclusions étaient déjà faites sur lui.

Aaaaaah! pour "le" Théo... T'es lorrain?

de toute facon il reste plein de loup garous, mais je ne pense pas que théo soit loup garous. essayons d'éliminer quelqu'un d'autre.

Chou_rouge a écrit:

Aaaaaah! pour "le" Théo... T'es lorrain?

nope ! Je viens de l'Est à la base... mais c'est encore plus loin


Et décidement j'ai du mal à comprendre la logique de certains ... Théo est loup, j'en mettrai ma barbe au feu !

ok , ben dans ce cas tuons théo^^

allez lala, au boulot faut tuer théo^^

Bon oké Théo alors!
On est tous d'accord!
Vasy Lala!

Et c'est parti pour Théo Mordur:


Chap 17 : Condamnation de Théo Mordur

Quand toutes les voix se retournèrent contre lui, Théo Mordur perdit ce petit sourire qu’il avait toujours aux coins des lèvres. Son regard se remplit d’angoisse et il commença à courir, courir…

Le village se lança à sa poursuite, il courait vite… trop vite… un filet de bave coula le long de son menton tandis qu’il se transformait.

Il devait les semer, il devait… les tuer un par un… mais comment faire ? ses congénères faisaient semblant de le courser aussi pour ne pas éveiller les soupçons sur eux. Ils n’avaient pas le choix. Il s’engouffra dans la forêt, espérant perdre ses poursuivants.
Ils étaient de moins en moins à parvenir à le suivre, personne n’était entraîné pour cela. Il avait slalomé entre les arbres, leur avait fait sauter par-dessus des branches et les avait fatigués.

Il s’arrêta, n’entendant plus personne haleter derrière lui. Il respira et se concentra sur le silence et sur le seul bruit de sa respiration. La sienne ? non... ce n’était pas possible… a son souffle venait se superposer parfaitement celui d’une autre personne.
Il cria alors : « Qui est là ? Montrez-vous ! »
Ce fut Arsène qui apparu derrière un arbre, et il n’était pas venu seul : PAN ! Droit entre les deux yeux. Le loup s’écroula à terre, une balle d’argent entre les deux yeux.

Et voila ! C'était évident

Bon... Et la suite? xD

la suite ? c'est la nuit, donc aux loups de croquer quelqu'un non ?

OUi, mais je veux dire "Lala, fais nous la suite!" xD

En attendant la suite... voilà le DEBUT :

Flashback: La première victime

Installée à côté de l'entreprise de pompes funèbres de M. Mordur, Linda Lépic vendait des fleurs pour toutes occasions : fêtes, deuils, pardons...
Elle était fière de sa boutique et n'hésitait pas à l'ouvrir en dehors des heures prévues, pour satisfaire les clients.

Un soir, alors qu'elle se préparait à se coucher, elle entendit frapper à la porte.
Elle descendit alors l'étage qui séparait son appartement de la boutique tout en refermant avec soin sa robe de chambre. Elle ne se demandait même pas qui pouvait frapper à une heure pareille, mais quel type de fleurs la personne demanderait.

Elle ouvrit le loquet de la porte, et le son de la clochette de l'entrée annonça qu'il était déjà trop tard : une chose était entrée, et lui avait bondit dessus. Elle eut à peine le temps d'apercevoir des yeux jaunes avant de succomber.






Les 9 autres premières victimes quand j'aurai le courage de tout taper (tout est écrit mais plus long que celle là XD)

encore!!!

Flash-back ; La deuxième victime.

Il ne voulait pas croire que cela puisse venir de son produit, ce n’était pas possible, ce n’était sûrement que pur hasard, un assassin avait tué la fleuriste, avec ou sans raison, et les poils retrouvés sur les cactus n’étaient qu’une coïncidence. Peut être un chien maladroit, ou une mise en scène… ça ne pouvait pas venir de là… les lettres reçues devaient être l’œuvre de petits farceurs, et le tueur devait déjà être loin, il ne fallait pas s’inquiéter.

Malgré ces pensées pour le rassurer, il ne put s’empêcher de douter de sa théorie… devait-il prévenir quelqu’un ? Les autorités peut être… mais pourquoi faire ? Qui le croirait ? Il passerait pour un fou, et plus personne n’oserait venir chez lui, acheter ses produits. Il devrait fermer boutique, échouer en tant que pharmacien, en plus d’avoir échoué comme père. Christelle, qui ne lui obéissait plus depuis longtemps déjà, avant même que sa mère décède, devrait le voir rater sa vie… non… il ne pouvait accepter cela… Se taire ? Oui, de toute façon, mieux valait ça que finir à l’asile, sans famille, sans amis, sans personne.
Et puis il ne pourrait pas supporter le regard de sa fille le sachant responsable. Il était lâche oui, il le savait.

Il savait bien qu’il serait l’un des derniers à mourir, ‘ils’ l’avaient prévenu. Mais il n’avait en rien imaginé que sa fille chérie serait la suivante. Il avait espéré s’enfuir avec elle… ce fut sans compter la colère des loups, ces loups nouveaux qui n’avaient pas accepté, ni compris cette transformation.

‘Ils’ la prendraient elle. Malgré leurs lettres, le pharmacien n’avait rien fait, il n’était même pas venu leur présenter des excuses, ni ne leur avait promis de trouver un remède. Alors ‘ils’ se vengeraient. Cette nuit était la première nuit de pleine lune du mois, ‘ils’ allaient tuer trois nuits de suite, mais ‘ils’ commenceraient par elle. ‘Ils’ prendraient la personne la plus chère au cœur du pharmacien, alors ‘ils’ seraient un peu calmés. Il fallait qu’elle meure… et qu’elle souffre… oh oui qu’elle souffre !

‘Ils’ la garderaient en vie le plus longtemps possible, ‘ils’ lui feraient croire qu’elle peut courir, qu’elle peut s’enfuir, qu’elle peut s’échapper. Et ‘ils’ l’encercleraient, là-bas, dans la forêt, c’était le plan. Tout était prévu. Elle qui ne restait jamais en place, qui devait toujours sortir le soir, rejoindre la ville en voiture, quitte à devoir draguer les vieux célibataires du village pour y être conduite. Ce soir elle n’irait pas, ce soir elle avait rendez-vous avec la mort. Mais pour le moment elle l’ignorait.

‘Ils’ se déplacèrent furtivement dans tout le village, crevant les pneus de toutes les voitures, ou coupant des câbles du moteur à coups de griffes ; démolissant les lignes téléphoniques en les tranchant, afin que le village n’ait plus aucun moyen d’appeler du secours. Un cadavre passait encore, mais deux… les villageois appelleraient du renfort, de l’aide scientifique, ‘ils’ ne pouvaient pas se le permettre.

Après avoir coupé toute possibilité de contact avec l’extérieur, ‘ils’ se concentrèrent sur elle. Elle était sortie par la fenêtre de sa chambre, comme chaque soir.
Elle était très belle, comme à son habitude ; vêtue d’une légère robe de soirée rouge au décolleté plongeant dévoilant sa gorge… sa gorge… le sang à l’intérieur devait être tellement bon, si chaud… ‘Ils’ salivèrent. L’un d’eux ne put s’empêcher de rompre le cercle et de foncer sur elle. Elle hurla, et son cri se perdit dans la nuit. Elle se mit à courir, courir à perdre haleine, des points de côtés la faisaient souffrir mais ce n’était rien à côté de ce qui l’attendait. Elle courut le plus vite possible, le plus loin possible. Malheureusement pour elle, ‘ils’ étaient bien plus rapides. Elle tomba nez à nez avec
Certains d’entre eux plus d’une fois, et bifurquait pour les éviter. Elle ne se rendait pas compte qu’elle allait où ‘ils’ voulaient qu’elle aille. Elle entra dans la forêt, pensant se cacher dans les arbres. Haletante et transpirante, elle ne pensa pas au bruit qu’elle faisait en respirant, ni à son parfum enivrant qu’ ‘ils’ pouvaient sentir.

Au matin, elle fut découverte, sa robe du soir lacérée par la course et les griffes. Elle avait saigné, mordue au cou et rongée sur une grande surface. D’elle il ne restait qu’un visage griffé, des lambeaux de chair et un squelette quasi complet.

Le tueur psychopathe avait encore frappé.

Encore! Encore! xD

bon allez je m'y suis mise moi aussi. Mais pas question de poireauter trop longtemps (trop la flemme de tout reprendre après ^^).

Bon courage pour écrire la suite (surtout si le "f" bug toujours...)

Flash-back: la troisième victime

Son mari lui avait répété des centaines de fois qu'elle ne devait pas sortir une fois la nuit tombée; mais elle était têtue. Elle était persuadée que "le tueur de la pleine Lune", comme on l'avait surnommé, ne s'en prenait qu'aux jolies jeunes filles; et de plus une fois par mois, comme le mois dernier. Et vu qu'il avait tué quelqu'un la veille, et qu'elle ne se trouvait ni jeune, ni jolie, elle avait de bonnes raisons de se sentir en sécurité.

Elle voulait donc prouver à son mari qu'elle ne risquait rien et qu'il avait tort de s'inquiéter.
Elle mit donc son manteau et sortir en disant "je reviens dans une demi-heure, le temps de faire le tour du village".

Emile n'eut pas le temps de réagir que déjà, elle claquait la porte. Il courut jusqu'à celle-ci, l'ouvrit, et sortit à son tour, à la suite de sa femme, qui avait déjà disparu du champ de vision.

Etait-elle partie à gauche ? Ou à droite ?
Vite, Emile choisit l'une des directions, il se mit à courir vers la pharmacie pour la rattraper, mais de très loin, de derrière lui, vint un crit suraigu. vite. Il fit demi-tour, et courut jusqu'à elle, juste à temps pour la voir tomber au sol, des ombres gigantesques s'enfuyant.

Il lui prit la tête dans ses mains, lui déclarant qu'elle était belle, et encore jeune; et dans un dernier souffle elle lui dit "J'avais tort... pardonne-moi"

Il tenait à présent le corps sans vie et encore chaud de sa femme. Doucement le sang qui s'écoulait coagula. Il resta là, sa femme bien-aimée dans les bras jusqu'au petit matin, lorsque le village s'éveilla, et le découvrit.

adieu Josiane