Etistone: histoire fantastique

Après avoir lu l'histoire de Moga, ça m'a donné envie de dépoussiérer un vieux truc débile que j'avais commencé il ya quelques années. Voici ce que donne le début.

Prologue première partie : Enfer en Puy-de-Dôme


Il doit être deux heures du matin, le ciel est dégagé et la lune est absente. Pourtant, on y voit bien à cause de la lumière qui vient du cratère du volcan. Nous sommes postés sur la colline d’en face, silencieux et immobiles. Cela fait bientôt une demi-heure que nous observons le sommet de ce volcan éteint de la région de Clermont-Ferrand. À présent, il en émane une lumière convulsive rouge.

Nous en savons assez vu pour ne pas rester un instant de plus ici. Il ne fait plus aucun doute que les mages noirs ont repris leurs activités et qu’ils comptent réunir bientôt une armée de démons à leur service.

Je regarde mes compagnons : A ma droite, le chevalier doré est debout face au spectacle hallucinant qui s’offre à nous. Sa silhouette imposante et rassurante se dresse dans la prairie immobile. Son cimier semble toucher les étoiles et, sur toute sa hauteur, d’inquiétants reflets rouges dansent avec le métal jaune de son armure. J’entends son souffle puissant et régulier passer à travers son haume d’or. Avec lui à nos côtés, nous pouvions faire face à n’importe quelle mauvaise rencontre.

À ma gauche, le mentah flotte à plusieurs mètres au-dessus du sol. Il est vêtu d’un long manteau blanc et tient ses mains l’une sur l’autre au niveau de sa poitrine, paumes face au ciel, et ses yeux sont clos comme à chaque fois qu’il utilise ses talents de vision. Il me fait part mentalement de ses inquiétudes à propos de l’activité grandissante dans le volcan.
L’air est tiède et les soubresauts lumineux du volcan sont devenus presque aveuglants. J’ai les mains moites, je pressens un grand danger. Je tâte frénétiquement ma ceinture : mes deux lames sont là, dans leurs fourreaux. Je me détends un peu.
Puis, une chose me surprend.
Le mentah est descendu et tient sa main sur mon épaule :
« -Excuses-moi, mais il faut partir, vite, j’ai peur que ma présence mentale a été détectée.
-Oh non ! C’est pas vrai ! »
Je me tourne à nouveau vers le cratère et, dans un éclat rouge qui me fait plisser les yeux, j’aperçois une silhouette noire sur l’arête du volcan.
- On décroche !
Comme un seul homme, nous partons en courrant sans nous retourner. Le chevalier doré n’a aucune peine à nous suivre malgré le poids énorme de son armure. C’est grâce à son exosquelette intégré à l’armure et à son métabolisme modifié qui lui permettent de développer une force extraordinaire qu’il est un combattant si redoutable, à la fois puissant et infatigable. Nous nous regardons au bout de quelques centaines de mètres : un grondement sourd vient de derrière nous. Je risque un coup d’oeil par-dessus mon épaule. Notre poursuivant, dans la nuit, ressemble à un rocher sombre qui roulerait dans la prairie à toute vitesse. Il est seul, mais il nous rattrape.

Nous ne courrons plus. Nous nous sommes retournés pour faire face au monstre. Comme à chaque fois que notre vie est mise en jeu, nos cœurs battent plus vite et plus fort, mais cette fois, nous ne paniquons pas car nous avons déjà combattu et vaincu plusieurs de ces créatures terrifiantes, les Kralls. Ces monstres hideux au service des Antropes sont des bêtes de 2 mètres 60 de hauteur, au corps aussi large qu’épais et recouvert de poils.

Le chevalier d’or fait face, devant. Il tient avec assurance son bouclier de métal jaune et sa large épée étincelante. Je dégaine mes lames, prêt à toute éventualité. Le mentah ferme les yeux et s’élève au-dessus de nous. Ses mains se joignent, paume contre paume, les doigts pointés vers les étoiles. Une ride apparaît entre ses yeux tandis qu’une sphère scintillante aux reflets dorés apparaît au-dessus de sa tête et augmente rapidement en taille pour donner une sorte de bulle de lumière. Une deuxième ride apparaît entre les deux yeux du mentah et, d’un coup, la bulle s’amplifie à une vitesse extraordinaire pour atteindre une taille suffisante pour englober tout notre petit groupe. La bulle géante descend et s’enfonce alors dans le sol de façon à former un dôme protecteur parfaitement transparent.

Moins de 10 secondes se sont écoulées depuis le début de l’invocation et notre ennemi approche à grands pas, je le distingue nettement à travers le dôme : les jambes courtes et épaisses comme des troncs, les bras longs et puissants terminés par cinq griffes redoutables aiguisées comme des poignards. C’est bien un Krall, et pourtant…

Quelque chose cloche. Au fur et à mesure que la silhouette ronde du Krall grandit, le sol tremble à chacun de ses pas ! C’est seulement lorsqu’il est presque nez à nez (ou plutôt nombril à front) avec le chevalier doré et qu’il brise l’écran de lumière d’un grand coup fracassant que je réalise. Cette créature est de taille gigantesque !
Le chevalier vole telle une brindille sur plusieurs mètres sous le coup du monstre tandis que le mentah, qui a ouvert les yeux et qui se tient toujours en hauteur, regarde, incrédule, la main griffue grosse comme une portière de voiture lui arriver dessus.
Revenu à la réalité, je bondis promptement en arrière, évitant de justesse un balayage meurtrier. Pendant que je saute, je regarde à côté : le mentah est décédé, cela ne fait aucun doute. Quant au chevalier doré, avec le coup qu’il a pris…

Cette créature n’est pas un Krall ordinaire. Nous ne sommes pas en mesure de le vaincre. Pendant que je fais cette terrible constatation, j’esquive une nouvelle attaque en sautant de plusieurs mètres de hauteurs et je tente d’atteindre sa tête avec mes lames…

Je suis touché ! Le Krall m’a happé la jambe pendant que j’étais en l’air ! Une douleur aiguë s’empare de moi : plusieurs des griffes du monstre ont traversé ma jambe droite de part en part. Il me balance ainsi au sol sans ménagement. Je suis maintenant plaqué au sol, allongé sur le dos, la jambe en brochette et gémissant dans mon propre sang qui commence à sortir de ma bouche. Et je vois la tête massive du Krall s’approcher lentement de moi : une face ronde hideuse avec un regard intelligent mais profondément mauvais, les yeux entourés de rides noires et profondes creusées dans une peau grise, un nez absent remplacé par deux fentes nasales, et un sourire grotesque traversant sa face de part en part et découvrant ses dents innombrables et pointues. Je ne peux pas bouger, je dois avoir plusieurs os brisés, la douleur brouille mes sens et ma vision se voile, mais je sens distinctement le souffle putride de la créature. Et il me semble entendre un rire rauque et profond qui font se dresser mes cheveux sur ma tête.

Puis soudain, le sourire disgracieux disparaît et fais place à une grimace haineuse et le rire se transforme en un rugissement qui fait vibrer mon corps meurtri. Le Krall, les griffes toujours plantées dans ma jambe se tourne pour regarder derrière lui. Dans un effort suprême, je soulève ma tête pour regarder par-dessus ma poitrine dans la même direction
Derrière le Krall se tient, debout, une silhouette à haut cimier dont l’armure envoi des éclats jaunes. Le chevalier tient toujours son bouclier et son épée maintenant ruisselante. Il en fallait plus pour tuer un chevalier d’or.
…Je m’évanouis…



Prologue deuxième partie :



Quelque part, au cœur de Paris, par une belle matinée d’été, un homme avec un béret portant un chevalet de peintre et sifflotant un air connu marche dans la ruelle éclairée par les premières lueurs du jour. Le bruit joyeux et régulier de ses pas résonne entre les immeubles du XVIIe siècle qui bordent la ruelle. Le roucoulement des pigeons se mêle au bruissement de leurs ailes, et l’on entend la rumeur de la ville en éveil alentour. La ruelle, quant à elle, semble encore endormie. Le peintre s’arrête juste après un tournant de la ruelle et installe son chevalet sur le trottoir devant une belle perspective.
Au même moment, une berline noire aux vitres sombres passe silencieusement dans la ruelle sans que le peintre n’y prête attention. Elle tourne dans une autre ruelle et s’arrête un peu plus loin. La portière avant droite s’ouvre, et un homme puissant en costume sombre en sort. Il porte un catogan et des lunettes de soleils et sa mine est sévère. Il ouvre la portière du passager en s’inclinant.
Un homme en sort tranquillement. Il porte des sandales de cuir, un pantalon d’été couleur crème et une veste de la même couleur par-dessus une chemise blanche. Il est grand, mince, altier, ses cheveux sont très blancs et courts. C’est un homme âgé mais encore vigoureux. Son regard bleu intense est dirigé vers le porche de l’immeuble qui est juste devant lui. Son nez est fin, sa bouche pincée. Son visage est de forme allongée et, derrière le poids des ans, on perçoit une beauté qui a du être grande 50 ans plus tôt.
D’une voix distincte, il s’adresse au chauffeur et à l’homme au catogan, toujours incliné et tenant la portière.
« Revenez me chercher à onze heure pour le déjeuner… »
« Très bien, monsieur le comte. » Répondit le garde.
Il referme ensuite la portière et remonte dans la voiture qui repart en silence.

Le vieillard marche résolument vers le grand porche qu’il ouvre avec une clef. Il le referme derrière lui, traverse la cour pavée et entre dans le bâtiment à hautes fenêtres qui lui fait face.
Il se retrouve dans le hall, avec les hautes fenêtres qui donnent sur la cour et qui laissent passer une clarté diffuse dans la pièce en raison de l’heure précoce. Dans un coin se trouve un bureau derrière lequel un homme d’une trentaine d’années à l’air insolent scrute le nouvel arrivant :

« -Bonjour grand maître et bienvenue ! Qu’est-ce qui vous amène de si bonne heure ?
- Bonjour Fabrice. Hélas, vous le savez bien !
- On ne peut rien vous cacher, dit l’homme, en fixant de ses yeux malicieux le nouvel arrivant. Allez voir Armand, c’est lui qui était de garde cette nuit. Il est encore dans la salle de communication.
- Je vous remercie Fabrice, répondit-il sur un ton froid mais poli. »

La salle de communication, pièce circulaire aux murs et au plafond très blancs, ne comporte aucune fenêtre ni aucun meuble, mis à part, au centre, une table ronde entièrement de marbre blanc avec quelques veines bleues et anthracite. Le sol est constitué de grandes dalles anciennes du même marbre que la table. Un homme chauve et trapu d’une soixantaine d’années est debout face à la table de pierre. Il est vêtu d’un long manteau blanc qui descend jusqu’à ses chevilles, et qui laisse entrevoir de magnifiques bottes blanches brodées. Sa main est tendue au-dessus d’une petite pyramide aux reflets métalliques qui flotte en tournant sur elle-même à quelques centimètres de la table.
La porte unique de la pièce s’ouvre et le vieil homme au regard bleu entre. Ses pas résonnent dans la salle tandis qu’il s’avance. Il entame la conversation :
« - Bonjour, maître, quelles sont les nouvelles ?
- Bonjour grand maître, quel plaisir de vous voir.
L’homme chauve, qui tourne le dos au nouvel arrivant et qui n’a pas bougé, retire tranquillement sa main du dessus de la pyramide qui retombe doucement sur la table de marbre dans un tintement à peine perceptible. Puis il se tourne lentement vers le vieillard au regard bleu intense qui s’avance vers lui le bras tendu pour lui serrer la main. Il a le visage rude et marqué par la vie et son regard est pénétrant. Il prend alors la parole:
- Il est arrivé malheur à notre expédition en Puy de Dôme. Comme nous le craignions, les Antropes ont intensifié leurs activités et se sont retrouvés cette nuit en force supérieure à ce que nous pensions.
L’homme chauve prend une respiration et poursuit :
- Le mentah a rapporté des informations précieuses, mais c’est lui qui a fait échouer la mission. Des Antropes de premier ordre étaient présents et l’ont découvert pendant qu’il les espionnait.
- Ses pouvoirs étaient donc insuffisants, coupa le vieil homme ! Vous m’aviez pourtant affirmé que c’était votre disciple le plus doué !
Ce dernier mot résonne comme un coup de tonnerre dans la pièce, mais l’homme chauve ne bronche pas et répond après un long silence.
- C’est ce que je vous avais dit, en effet. Ses pouvoirs étaient bien suffisants à mon avis. C’est sa façon de les utiliser qui a été mauvaise. Son excès de confiance en lui a été sa perte.
Le regard bleu intense du vieil homme se durcit :
- Leur perte à tous les trois. Comment a-t-il pu C’est une faute grave d’avoir sous-estimé l’ennemi.
- Tout à fait, Constant, et nous ne pouvons qu’en déplorer les tristes conséquences. J’ai fait une erreur en le choisissant. Il manquait d’expérience, conclut l’homme chauve en regardant la table et en fronçant les sourcils.
- Ils manquent tous d’expérience. Depuis la réapparition des mages noirs, nous n’avons cessé de recruter de nouveaux combattants. Le nombre de mentah a été multiplié par dix en quinze ans. J’ai fait réhabiliter complètement l’ordre des chevaliers d’or. Aujourd’hui, dans nos rangs, aucun n’a assez d’expérience ni assez de force pour refaire ce qu’ont fait nos prédécesseurs, il y a six siècles.
- Tout à fait, mais les choses sont différentes aujourd’hui, et nous sommes mieux préparés qu’à l’époque. Grâce à la technologie et à nos plus récentes découvertes, nos chevaliers dorés sont presque invulnérables et sont largement de taille à combattre les kralls. Et puis, le leader des mages noirs n’est pas celui d’antan…
- Justement, Armand, qu’est-il arrivé au chevalier d’or ? Pourquoi n’est-il pas arrivé à bout du Krall ? C’était pourtant un des plus puissant, c’est incompréhensible !

Un silence de quelques secondes qui en dit long suivi ces paroles. Le vieil homme comprit avant même qu’Armand lui réponde…

- Ce n’était pas un Krall, murmure l’homme chauve… Ça m’a étonné, mais c’est pourtant la réalité. La créature qu’ils ont affrontée cette nuit était gigantesque. Presque 4 fois plus massive qu’un krall ordinaire. Elle a brisé le bouclier de lumière d’un seul coup avant de tuer le mentah, puis le mage. Le chevalier d’or a combattu bravement, mais il ne faisait pas le poids. Il est mort dans d’atroces souffrances.
- Ce serait donc un Krall antique au sang plus pur… Mauvais signe, marmonne le vieil homme, d’un air songeur.
- C’est ce que je pense en effet. Les antropes ont encore augmenté leurs capacités de nuisance cette nuit.
- Il va donc falloir intensifier le recrutement, et l’entraînement aussi, bien sûr. Je compte sur vous, Armand.
- Et où en sont les recherches ?
- Il y en a deux qui avancent bien… Le navire prétend avoir trouvé des traces quelque part en mer Noire. Je n’en sais pas plus pour l’instant. À part ça, le groupe de recherche métamorphique m’affirme que nous serons bientôt en mesure de rendre nos mages les plus frêles encore plus puissants que des chevaliers d’or en armure ! Ces alchimistes sont une vraie bénédiction. Ils me coûtent une fortune mais ce sont des génies, lança-t-il, un faible sourire éclairant son visage dur. À bientôt, mon ami.
Le vieil homme sort de la salle immaculée, et seul reste Armand. Un long silence pèse dans la pièce après que la porte a été refermée. Puis, Armand se met à parler pour lui-même :

- Et toujours rien sur la montagne de puissance !

Il demeure songeur un moment, l’esprit encore chaud des derniers évènements, puis, avec des gestes très calculés et à la fois très naturels, il reprend sa position initiale, la main au-dessus de la pyramide qui est restée posée sur la table en marbre. La pyramide métallique se met tout d’abord à vibrer, puis elle s’élève en tournant sur elle-même.

Tam tam tam ... argh! la suite !!!!!

C'est bien écris, ça permet de bien visualiser la scène et c'est d'autant plus facile de plonger dans l'ambiance.

Les noms comme Krall, mentah, ça vient d'où ? Ton imagination ou tu as des références ?

Keep on the good work.

Ben en fait, mentah, je l'ai déjà vu plusieurs fois mais j'essaye d'inventer des choses nouvelles.
"Krall" je l'ai inventé.
La suite va venir mais il faut que je la transfert du papier à l'ordinateur.

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Edit: et "Antrope" aussi, je l'ai inventé: ce sont les mages du chaos et du deshordre (pour les initiés, héhé)

Whoaaaa!!!! J'adore; c'est super bien écrit, malgré une ou deux fautes qui t'ont échappées...

en plus y'a du sang!!!!!!!!!!!!!!!!! =^o^=

La suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite!!

/attache Etistone à son fauteuil de bureau et le laisse pas bouger tant qu'il a pas tout tapé sur le pc

C'est vraiment bien écrit !
On se plonge bien dans l'atmosphére.

la suite !!!

C'est très bien écrit (même si, comme l'a dit Lala, y'a quelques fautes qui traînent) : bref, précis, bien décrit, nickel !! ^^
On imagine assez bien la scène. C'est tout bien en fait !

Ze veux la suite !!

et la suite ?

ouais! Je l'ai pas mal modifiée ces drniers temps et j'ai un soucis de clef usb qui m'empèche de faire le transfert du texte... A suivre!

Ouais! J'ai édité le premier post, la suite est enfin arrivée!

Ouaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis!!!!!!!!!!!!! la suiiiiiiiiite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Toujours aussi bien écrit, toujours quelques petites fautes oubliées de ci de là aussi...
J'adore les descriptions que tu fais dans ton texte, on peut super bien visualiser c'est génial!

Sympa ^^
J'avais pas encore lu la premiere partie, mais le tout est tres chouette
C'est bien écrit, malgré quelques fautes, et on plonge bien dans l'action.

En bref, j'ai hate de lire la suite ^^ (l'histoire est déjà finie sur papier ou pas?)
Et pour le mentah... je suis sure de l'avoir déjà lu quelquepart, mais ou??? Lance dragon peut-etre...

Désolé pour les fautes, il faut que je revoie mes conjugaisons!

Sinon, j'ai la trame globale (je connais la fin et les rebondissement les plus incroyables, nananère. Ya même des histoires de cul pour varier...). Mais j'ai rédigé que cette intro. Le prochain épisode sera sûrement un flash-back 600 ans en arrière aux origines du conflit...
Et "mentah", je l'ai vu dans les chroniques de la lune noire mais il y est ailleurs aussi...

DU CUL!!! DU CUL!!!!



non, en fait, je voulais juste dire que si tu avais besoin d'une correctrice, tu peux m'envoyer tes chapitres avant de les poster, je te les corrigerais ^^

Ayé, j'ai enfin lu la suite du prologue et je suis d'accord avec Mogy, tu aurais besoin d'une correction avant édition. Il y a pas mal de répétitions (c'est lourd au bout d'un moment !! ^^"), tu passes du présent au passé au cours du récit (et vice-versa) et il y a des fautes d'orthographe (il n'y a pas de "s" à "bonjour", en tout cas, pas à notre époque !).
Sinon, l'histoire en elle - même est intéressante (en plus, y'a des chevaliers d'or !!! ^^), j'attends la suite !!

Ouf, je me suis enfin relu, et j'ai édité. C'est vrai que c'était n'importe quoi, j'ai honte ! C'est la pression des lecteurs qui m'a fait bâcler le travail !

Sinon, la suite, je ne pense pas la poster de sitôt, vu que ce n'est pas une histoire en épisodes mais une seule grande aventure... Il faut que je peaufine tout.

Et les chevaliers d'or ( mdr ) n'ont pas grand-chose à voir avec les chevaliers du zodiac (à part l'or, justement), par le fait qu'ils n’ont pas un millimètre carré de peau à découvert, qu’ils ne se battent pas à main nue, que leur équipement fait plusieurs centaines de kilogrammes et surtout qu’on est sûr que ce sont des hommes ou des femmes, mais pas les deux à la fois ! ^^

MDR

Je me doute bien que tes chevaliers d'or n'ont rien à voir avec ceux du Zodiaque (quoique les armures d'Or sont vachement plus protectrices que les armures de Bronze et puis la plupart, rien qu'à leur visage, on sait si ce sont des hommes ou des femmes... pas tous, je te l'accorde !! ). Bref, j'aime bien les chevaliers alors, ça me va.

Y'a un "bonjour" sur 2 qui t'a échappé !!

Bon, sinon, pour la suite, c'est pas urgentissime non plus. Il faudrait pas que, sous la pression, tu nous pondes un truc qui ressemble à rien.

Edit : Yes, first sur la seconde page !! ^^