histoire de mot

le but étant de creer une histoire coherente avec des mots sans aucun rapport:

voici les premier mots choisit au hazard dans un dictionnaire;

cybernaute, microscope, repopulation, repassage, license,détresse, lapin, arabesque

bon courage

bon voici deja mon histoire:

il était une fois, dans un royaume lointain autrement connu sous le nom de primelia, vivait un roi. Ce roi particulierement banal reignai sur une ville du nom d'iranaya il vivait dans un chateau magnifique fait d'or et orné d'arabeque . la ville était prospere et ne souffrai d'aucune épidémie. Cepandant la ville subissai une forte exode de la part des habitants. Et au rythme ou cela allai la ville deviendra fantôme d'ici quelque mois. Le roi , ma foi fort sage décida d'organiser une campagne de repopulation.Dans sa detresse il envoya des hémissaire dans tout le royaume afin de trouver la personne qui trouverai une idée pour que les gens reviennent élire domicile dans la ville. quelque jours plus tard un hémissaire revint avec un homme a ses coté. Il s'annonce comme étant un cybernaute .c'est a dire pour l'époque une personne étant trés en avance sur son temps et qui connai tout les appareil moderne. Ilnor, c'est son nom, avait fait de trés longue étude dans le plus grand et le plus réputer des royaume étudiant. Il avait un dictora de chimie, un d'alchimie, un diplome de manipulateur de canon radioactif et meme une licensed'entretient de balai magique qu'il avait faite par ce qu'il ne savai pas quoi faire le week-end.c'était aussi un brillant inventeur. C'est lui qui a creer par exemple l'epluche banane ou l'apeau a morpions. mais l'une de ses invention les plus réussi étant le mégaloscope:il s'agit d'une sorte de microscope qui permet d'observer les différence de pression de l'air. Bref c'était l'homme de la situation
le roi lui demanda son aide et il accepta moyenant rémunération.Il conseilla au roi d'être moins monarchique que la population en avai marre d'être diriger par un roi trop serieu.Il fallai que le roi se décontracte
Ils oraganisèrent donc une grande campagne de publicité accé sur l'image d'un roi décontracter.On vit bientôt fleurir dans toute la ville de grand panneau avec la photo du roi en train de faire du repassage ou d'elever des lapins
la campagne ne mis pas longtemps a faire son effet. Les badeaus qui passaient trouverent ce nouveau roi trés sympatique et revinrent en masse dans la ville. La ville se repeupla, Ilnor fut récompenser comme il le mérite et tout est bien qui fini bien...

Bon, je poste à la suite, mais sinon personne va le voir...

J'ai pondu un truc à la va-vite, j'ai pas écrit de fin, même pas vraiment de début... Pas vraiment d'histoire, en fait... Je suis parti du nom Félix et de la liste de mots d'Aramil...
Petite difficulté de plus, j'ai veillé à mettre les mots dans l'ordre où il m'ont été donnés...

Bref, c'est pas très construit... à vous de juger...

Félix sortit du garage pour fumer une cigarette. La température extérieure de ce matin de décembre faisait ressortir ses traits tirés de fatigue, en lui rosissant le visage. Il avait les yeux mouillés de larmes, éblouis par ce soleil naissant et par la fumée qui tenait particulièrement à rester près de lui.
« Encore une nuit qui m’aura pas servi à dormir », songea-t-il en tirant une ultime bouffée.
Une fois rentré dans l’aggloméré de béton attenant la maison qu’on appelait garage par tradition mais qui servait depuis longtemps de repaire à Félix, il avisa l’écran de l’ordinateur. Un petit clignotement lui indiquait du courrier. Autiste reconverti en cybernaute, Félix avait trouvé un exutoire à ce mode de communication qui n’impliquait rien de sa personne que son esprit.
C’était Laminaol37. « Vraiment, quel pseudonyme ridicule », songeait Félix pendant le chargement de la page. « Enfin… » Et de lire le message, banal et sans grand intérêt. Repoussant à plus tard une hypothétique réponse, il retourna à son microscope. C’était bien plus intéressant. Depuis une lecture d’article sur le Net (béni soit son inventeur, pensait Félix), il se passionnait pour la vie microbienne. Avec son petit binoculaire, ses boîtes de pétri et n’importe quoi, il devenait le Dieu d’une civilisation complète, où la simple introduction d’une substance incorrecte équivalait à la plus contagieuse des pestes noires, permettant après une repopulation à partir des résistants, application directe des théories de Darwin. Evidemment, mieux valait ne pas oublier de les nourrir. Car si un antibiotique suffisait à en tuer 99%, un manque de nourriture et là, c’est 100% qui y passaient.
En parlant de nourriture, Félix sentait que même le dieu des bactéries devait parfois penser à reconstituer son capital énergétique, et se confronta quelques secondes encore à la fraîcheur du petit matin pour gagner le réconfort de la cuisine, passant sans mot dire devant Papa, endormi devant la télé, avachi la tête sur la pile de repassage de Maman, elle-même sûrement déjà partie (8h12 voyait Félix sur l’horloge de l’entrée, oui, sûrement) prendre sa place dans les embouteillages pour tenir sa caisse et gagner l’argent qui les faisait vivre.
Cherchant dans la pile de vaisselle sale un bol à l’air pas trop malhonnête, il le remplit de … céréales ??? (Félix ne savait jamais trop bien ce qu’il mangeait, du moment que ce n’était ni trop chaud ni trop froid, ni impossible à avaler, tout passait sans problèmes par son œsophage) et son esprit reprit son presque incessant vagabondage, tandis que son regard se posait tour à tour sur chaque élément de décoration de la pièce.
« Bientôt, bientôt, je m’en irais d’ici… Avec ma licence de Biotechnologie acquise par correspondance, mes progrès sont phénoménaux, et bientôt, oui, bientôt, je quitterais ce trou, abandonnant ces êtres qui ne m’ont jamais compris… »
Une fois son ingurgitation terminée, Félix refit le chemin inverse, croisant les mêmes scènes. Pas de jeu des sept erreurs possibles ici… quoique… Il était maintenant 8h23 à la pendule, une des fleurs du bouquet de la table basse avait perdu un pétale, l’émission s’était terminée sur la télé allumée, le chien ne dormait plus au pied de Papa mais sous la table, c’est sûrement lui qui avait fait bouger la chaise (5 cm vers la droite), Papa avait bougé pour s’appuyer plus sur son épaule droite, sa chemise entrouverte formait 3 plis de plus sur la partie gauche, sa chaussette droite était maintenant complètement descendue sur sa cheville, la buée n’occupait plus que 37 % contre 43 sur la fenêtre, et la voiture du voisin n’était plus à sa place… S’efforçant de sortir de cette description sans fin, dont les crises plongeaient maman dans une détresse occasionnant beaucoup de pleurs, Félix se força à fixer le lapin du tableau pittoresque accroché depuis des lustres dans la cage d’escalier. « Se fixer, il faut que je me fixe. Ne pas regarder ailleurs, non, fixer… fixe, fixe, fixe, fixe, fixe, fixe…
Revenu au garage, la crise passée, il retourna discuter avec ses cellules. Il avait beau avoir étudié l’intelligence bactérienne, il n’avait pas pu se résoudre à arrêter de les prendre pour des systèmes évolués et intelligents. Nous (par ce pronom, Félix s’incluait encore dans la race humaine, mais ce n’était plus qu’à un niveau biologique, rien de plus) fonctionnions sur une base de molécules et d’atomes, mais Félix savait que des particules plus petites existaient, quarks, neutrinos, tachyons qui étaient sûrement les bases du fonctionnement bactérien. C’était juste une question d’échelle… Et de toute façon, qui pouvait douter de l’intelligence de ses cultures de cellules quand on avait vu les arabesques que celles-ci formaient.
Félix était certain de leur volonté de communication avec lui. N’en déplaise à l’ensemble de la communauté scientifique, il était certain d’avoir distinctement vu le mot « bonjour » se former en une nuit dans une boîte de staphylococcus epidermidis…

à vous d'imaginer une suite...

Comme je m'ennuie un coup, je remonte ce topic, et y participe enfin
(pardon fifille de t'avoir incrustée dans la sauce, c'était tentant )

Gustave, cybernaute endurci ne rêvait que d'une chose, il espérait un jour, découvrir une entité secrère, en passant une heure par semaine dans son jardin, à scruter des bestioles au microscope. Il avait également aidé la repopulation d'une fourmilière désertée en attirant ma fille avec du nutella ( ) .

Attristée du départ de Mimi et de ses calins, je partis tirer les oreilles de ce gugusse(-tave), et lui infligea des corvées diverses: ménage, cuisine, repassage sous la menace d'un coup de hache.
Je lui offris même au bout d'un mois de corvées une license du plus mauvais cuisinier qui existe. En effet, ce boulet faisait cuire le riz à même la poêle; sans le mettre dans de l'eau auparavant... Le chassant à coups de pieds au derrière et à coups de hache sur la tête, il alla crier sa détresse chez la cigale notre voisine... qui l'accueilli à bras ouverts pour qu'il fasse les corvées pendant qu'elle allait chanter.

J'appris ensuite à Mimi à ne pas suivre le nutella de n'importe qui, qu'on ne sait jamais sur qui on peut tomber, et qu'une MJ psychopathe avec une hache pouvait très bien essayer de la séquestrer

Après cela, Mimi fut une très gentille fille, elle pris des cours de danse, avec une gentille dame qui avait des dents de lapin et qui zozotait un peu. Mais malgré son air étrange, cette dame charmante était très douée pour enseigner la danse, et très attentionnée envers Mimi
(attention, si tu t'approche trop je te hache!!! )
Au bout de seulement quelques jours, Mimi savait faire une arabesque parfaite et je ne me lassais pas de la regarder danser

Et tourne, et tourne la Mimi

Bon allez, je sors aussi ce jeu là du placard.

Voici 8 nouveaux mots (qu'on peut mettre dans l'ordre ou le désordre):

tulipe - castor - enceinte - photographie - vampire - chat - mouchoir - tissu


Mon histoire:


Dans le jardin du grand Vazyctoumboulé, il y avait autrefois ce champ de tulipes. Elles étaient d'un jaune d'or, que le soleil aurait pu envier. Jusqu'au jour où le grand Vazyctoumboulé décida de se marier. A partir de cet instant, il ne prit plus soin de son jardin. Plus personne ne chassait les corbeaux, les castors, les sans-abris; bref tout ce qui était indésirable dans ce beau jardin.
Tout cela parce que sa femme lui avait demandé de choisir entre elle et son jardin.
Le jour où Milly Vienbrodé, l'épouse de ce grand seigneur, lui annonça qu'elle attendait un enfant, alors Vazyctoumboulé fit une grande fête, durant laquelle il brûla tout ce qui restait de son magnifique jardin, pour lui faire plaisir, afin d'éviter toutes les crises de femme enceinte. Car c'était bien connu que Milly avait horreur de tout ce qui était plantes vertes. Elle préférait de loin la culture du bitume aux arbres verts et autres végétaux.
Tout ce qu'il restait à présent comme souvenir à Vazyctoumboulé de son beau jardin était une simple photographie. Il l'avait cachée soigneusement sous son matelas, et craignait qu'un jour son épouse ne la trouve et n'en fasse des confettis.
Plus le temps passait, et plus il regrettait amèrement d'avoir épousé cette femme, cette mégère aux traits d'ange, ce démon au corps de rêve, ce vampire assoiffée de modernité et de ciment. Elle refusait tout ce qui lui rappelait la nature, et ils vivaient désormais dans un appartement 4 pièces, au 23eme étage de la Tour Martelais, en plein milieu du 5eme arrondissement de Barthefour, la capitale.
Quelques années après, le jeune Grüdilf grandissait rapidement, il avait déjà un magnifique corps d'athlète; sa mère voulait en faire un génie de la piste de course; mais lui rêvait seulement de sortir de sa tour, et de vivre en communion avec la nature.
Lorsqu'il en parla à son père, celui-ci eut tellement peur de la réaction de sa femme, qu'il envoya son fils dans sa chambre sans dessert, en lui interdisant de reparler de tout cela à quiconque!
Un soir, Grüdilf rentra chez lui, tout content, et présenta à ses parents Matcha, un chat qu'il avait trouvé dans la rue, et qui l'avait suivi jusque là.
Milly se mit à pleurer toutes les larmes de son corps, se demanda ce qu'elle avait pu faire pour que son fils devienne une lavette sensible aux petites bêtes et aux plantes. Son mari lui tendit un mouchoir en tissu dans lequel elle se moucha, tant est si bien qu'elle se vida entièrement. De la tyrannique Milly, il ne restait qu'un corps vide.

Après l'enterrement de Milly, Vazyctoumboulé emmena son fils sur ses anciennes terres. Depuis les années, les tulipes avaient refleuries sur les cendres, ainsi que des dizaines et des dizaines d'autres plantes. Ce merveilleux jardin était devenu une terre de rêve, ou Vazyctoumboulé et son fils vécurent heureux de longues années, cultivant des légumes et vivant exclusivement de cela.

tulipe - castor - enceinte - photographie - vampire - chat - mouchoir - tissu

tout simple:
il était une fois une femelle castor enceinte mariée à un chat qui passait ses journées à chasser les vampires. Cette dernière a un jour senti une tulipe offerte par son mari et elle s'est mise a éternuer, elle sorti donc son mouchoir en tissu et se moucha
rentrant chez elle elle dit à son mari toi il vaut mieux t'avoir en photo !

Ca n a aucun sens

Euh... furienoire ça serait sympa de te présenter avant toute chose! Il y a une partie du forum exprès pour : https://rpgloupgarou.forumsrpg.com/qui-sommes-nous-f7/